La punition

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il y a 6 ans

La petite clochette s’agite nerveusement sur la table de la salle à manger. Quand il la repose, Magda apparaît dans l’entrebâillement de la porte, portant une soupière dans ses mains. Le comte Von Schönborn la regarde arriver à ses côtés. Elle marche dignement, chaussée de ses escarpins noirs qui brillent sous le feu scintillant des trois candélabres posés sur l’immense table en chêne massif de plus de 12 mètres de long.

Elle porte une paire de bas noirs retenu à mi-cuisse par une ceinture élastique en dentelle. Son petit tablier blanc masque le string de vinyle noir qu’elle porte ajusté sur le haut de chacune de ses hanches. Ses seins pointent, soutenus par un soutien-gorge ouvert assorti au string. Elle est sobrement maquillée car le comte déteste que son personnel féminin affiche une vulgarité colorée. Sa bouche fine est à peine soulignée de rouge à lèvre d’un rose chair et ses yeux bleus sont assombris d’un trait de mascara. Elle a l’habitude de coiffer ses cheveux noirs en arrière et de les nouer en chignon.

Elle traverse la pièce fraîche solennellement en faisant bien attention de ne pas se prendre les pieds dans le tapis. Sa démarche altière fixe le regard d’Heinrich, dernier comte du Burgenland, dernier état fédéré à l’Autriche en 1920, ancienne région du royaume de Hongrie. Elle est à son service depuis maintenant deux années en tant que gouvernante. Elle remplace Anna qui occupait ce poste avant elle, et qui a disparue sans donner de nouvelle du jour au lendemain. C’est sur les conseils de la baronne Auristelle de la Mitre des Champs de Bois-Ebert, une lointaine cousine française du comte, que Magda a pris ses fonctions. La baronne, connaissant les aptitudes de celle-ci et les goûts du comte, savait que le poste était fait sur mesure pour elle.

La hauteur de ses talons accentue la courbure de ses reins. Ses fesses roulent l’une sur l’autre lorsqu’elle s’avance vers son patron. Elle traverse la pièce sous le regard stricte et sévère des portraits des ancêtres d’Heinrich. Tout au fond, un feu crépite dans l’immense cheminée du XIIIe siècle. Le dogue allemand allongé sur la peau d’un fauve devant le foyer, lève la tête lorsqu’il voit arriver la gouvernante. Alléché par l’odeur du bouillon de poule, il laisse couler un long filet de bave à la commissure de sa gueule. Ses oreilles dressées, il surveille Magda poser la soupière sur la table.

Elle soulève le couvercle et présente au-dessus de l’assiette d’Heinrich la louche pleine du liquide velouté. Lorsqu’elle se penche pour servir précautionneusement le comte, ses seins sont à portée de bouche du maître des lieux. La chaleur de la soupe fait monter sur sa poitrine un nuage de vapeur qui lui fait bander les tétons. Sans y prendre garde, elle a laissé tomber une goutte du liquide bouillant sur la nappe immaculée. La faute n’a pas échappé au comte qui prend sa serviette posée sur ses genoux et la range pliée en long sur le côté de son assiette. Il se retourne vers la gouvernante.

— Vous ne pouvez pas faire attention ?

— Je suis désolée, monsieur le comte, dit-elle apeurée, je ne l’ai pas fait exprès.

— Vous savez que je ne tolère aucune erreur lors de votre service. Je me vois dans l’obligation de vous corriger.

— Non, monsieur le comte, supplie la gouvernante, je vous promets que cela ne se reproduira plus.

— Mensonge, petite souillon. Venez ici tout de suite.

Le comte se lève de son fauteuil Louis XIII et attr a p e Magda par le bras. Elle ne cherche même pas à se débattre. Elle sait qu’elle risque la porte si jamais elle ose rechigner devant l’autorité du comte. Elle sait aussi ce qui l’attend car ce n’est pas la première fois qu’elle est punie.

Il la pousse v i o l emment devant lui. Elle s’affale de tout son long. Allongée sur le tapis, elle n’ose pas se relever. Elle lui offre le spectacle de son dos nu qui plonge entre ses fesses. Il contemple pendant quelques instants la bande noire vinyle de son string qui ne cache que la rosette de son anus. Le comte se ressaisit, il la prend par les cheveux et l’entraîne vers la petite porte, à côté de la cheminée. Magda déambule péniblement à quatre pattes en gémissant. Ses genoux lui font mal. Il attr a p e au passage le collier et la laisse de son dogue et les met autour du cou de la gouvernante. Ainsi il aura plus de facilité de mouvement pour l’amener à son plaisir sadique.

La porte s’ouvre sur une petite pièce sombre qui lui sert de cabinet de travail et de curiosité, comme il aime à le présenter à certaines de ses connaissances choisies et triées sur le volet. Sur le sol, au milieu de la pièce, est riveté un anneau épais en acier. Il y attache rapidement la laisse par laquelle il a mené la servante. Il la tient serrée de façon à ce qu’elle n’ait aucune latitude de mouvement. Elle a la tête maintenue baissée à 20 cm du plancher. La position oblige sa croupe à rester en l’air, comme une offrande à tous les vices. De la pointe de sa botte, le comte fait s’écarter les genoux de la pauvresse.

Ses fesses s’élargissent sur la petite lanière de son string. Il fait patiemment le tour de sa victime, marchant calmement et la couvrant de son regard concupiscent. Il la connaît bien. Il sait qu’elle commence à être excitée par la situation. Il imagine l’humidité croître dans son intimité. Elle pousse de petits gémissements, plaintes furtives alléguant pour une part sa volonté de se rebeller, pour l’autre le plaisir qu’elle tire de sa position.

Le comte se tourne vers un panneau de bois qui couvre une partie d’un pan de mur. Une collection de badines sont accrochées, faites dans les matériaux les plus variés et les plus nobles. Allant de la plus confortable des souplesses jusqu’à la rigidité contondante, il choisit celle qui lui parait la mieux adaptée, une cravache de cavalerie en bambou asiatique, dont le bout est gainé de cuir. Il fait quelques mouvements amples, cinglant les airs avec, puis il frappe quelques coups dans sa main afin de vérifier la sensation que l’objet va procurer à sa victime.

Satisfait de ses essais, il se place sur le côté de Magda. Celle-ci tourne sa tête vers lui. Elle le regarde apeurée, attendant la punition. Sa croupe frémit partagée entre l’impatience et la peur. Il a les deux pieds légèrement écartés, placés de part et d’autre du fessier sur un axe parallèle à son corps. Il amorce un geste ample comme pour un coup au golf. Ses épaules se décalent. La badine s’abat vers les fesses. Avant même que le cuir n’ait lacéré la peau blanchâtre de la drôlesse, celle-ci pousse un cri. Mais la badine n’a pas touché les chairs, au contraire elle s’est arrêté à 5 cm de celles-ci.

Le comte éclate d’un rire gras et chaud. Elle en tremble encore. Il bouge légèrement et se place contre sa victime. Il pose le bout en cuir sur le haut du string et l’y introduit. Elle se cambre encore plus fortement. Son chignon touche presque sa colonne vertébrale. La badine s’introduit lentement entre les fesses, sous la lanière de vinyle. Il fait un mouvement de va et vient. Elle tortille des fesses cherchant à saisir la baguette avec sa croupe. Le bout de cuir frotte sur son anus. Elle essaye de l’attr a p e r avec son cul afin qu’il la perfore une bonne fois pour toute. Elle adore se faire enculer. Heinrich ne l’entend pas de cette oreille. Du moins souhaite-t-il faire durer son plaisir un petit moment. Il sort de sa poche un canif et en déplie la lame la plus longue. Il coupe d’un coup sec à la fois le ruban du tablier et le string de Magda. Les étoffes tombent en virevoltant sur le sol.

Il se place dans le dos de la gouvernante et observe pendant un moment soutenu le mouvement de ses chairs. Elle a toujours les genoux bien écartés et la tête maintenue vers le bas. Ses fesses s’ouvrent sur la petite rosette marron de son anus. Il voit celui-ci commencer à frémir. Il se contracte puis se détend comme si elle lui faisait un appel du pied pour qu’il la contente. Il voit sa vulve turgescente trembler. Il prend sa badine et pose le bout sur sa rondelle. Elle fait un mouvement en avant pour se dégager, surprise par l’initiative offensante du comte. En un instant elle comprend où il veut en venir. Suit alors un léger mouvement en arrière, imperceptible.

La badine ne bouge pas, maintenue fermement par Heinrich. Au fur et à mesure qu’elle appuie plus fortement elle relâche sa respiration. Le bout de la baguette s’enfonce lentement dans la rondelle de Magda. Celle-ci commence à avaler la partie en cuir. Le comte qui n’a pas encore bougé, enfonce d’un coup franc et long, 20 cm de l’engin dans le fondement de la pauvre fille. Elle ressent comme un déchirement en elle. Elle est empalée sur l’objet de la punition. S’ensuit un mouvement de plus en plus rapide, d’avant en arrière. Elle pousse de petits cris, partagée entre souffrance et plaisir.

Quand le comte s’aperçoit qu’elle commence à apprécier la punition qu’il est en train de lui infliger, il retire d’un coup sec la badine de son cul. Elle pousse un cri.

— Oh non, monsieur le comte, je vous en supplie j’ai encore envie.

— Non, petite salope. Tu sais pourquoi tu es là. Tu sais que j’ai horreur que ma nappe soit tachée. Et toi, comme une sale gueuse que tu es, une souillon, tu t’évertues tous les soirs à la salir avec tes bêtises.

— Je vous promets que je ne le ferai plus mais là je suis trop excitée, je vous en conjure !…

Cette fois Heinrich lève sa badine bien haut en l’air et la rabat sur l’une des fesses de Magda. La tige souple fend l’air dans un long sifflement. Une marque rouge apparaît rapidement sur la peau de la gouvernante. En quatre ou cinq gestes, des zébrures se dessinent. Sous chaque coup, Magda gémit entre ses dents. Elle ne sait pas de quoi, de la sodomie ou de la flagellation, elle retire le plus de plaisir. Elle ne peut s’empêcher de placer sa main sur sa vulve et de commencer à la caresser. Un doigt finit par s’égarer entre les lèvres, puis il remonte sur son clitoris. Elle l’appui et le fait tourner de plus en plus vite autour du bouton. Une décharge électrique lui parcourt le corps.

— Tu vois, petite salope, tu aimes ça, n’est-ce pas ?

— Oui, monsieur le comte, mais s’il vous plaît un peu plus fort les coups de badine.

— Tu vas être servie.

Heinrich redouble d’effort lorsqu’il flagelle la garce. Les coups s’abattent de plus en plus rapidement. Elle continue de se masturber avec d’autant plus de conviction. Le comte qui n’a pas oublié qu’il dirigeait une séance de punition et non pas une récréation, voyant qu’il n’arrivera pas de cette façon à donner une bonne leçon à son incorrigible servante, stoppe net ses efforts. Il attr a p e Magda par son chignon qu’il défait en lui ôtant l’épingle pointue en bois qui le maintenait fermé. Il s’agenouille auprès d’elle et lui tire la tête en arrière en s’agrippant à ses cheveux.

— Je vais te montrer ce qu’il en coûte d’être insolente avec moi.

— Oh oui… NON, je veux dire oh non, monsieur le comte, il ne faut pas me faire mal, dit-elle faussement sur un ton d’effroi.

Il lui repousse la tête en avant et se dirige vers le fond de la pièce. Une immense étagère accueille une collection invraisemblable et variée de tout ce que les civilisations successives ont pu inventer en matière de godemichet. Toutes les tailles, toutes les formes, toutes les matières y sont représentées. Il n’a que l’embarras du choix même si le comte a ses préférences. Sa grande habitude de l’usage de ces jouets lui permet de toujours choisir avec précision celui qui conviendra le mieux à la situation. Il prend le temps, néanmoins, de réfléchir.

Son choix se porte sur un engin fait d’ébène, récemment lustré par Magda qui a aussi pour tâche dans le château, d’entretenir le mobilier. Il l’empoigne, le soupèse. Il lui semble être l’arme idéale de sa propre justice. Elle le regarde faire. Elle n’aurait pas eu ce choix si on lui avait demandé son avis. Mais qu’importe, elle sait que le comte en homme éclairé a autant de noblesse dans ses choix que dans son titre. Elle ne peut s’empêcher, quand elle mesure la grandeur de l’engin, de se masser la vulve. Elle n’a pas envie qu’il lui arrache tout en la pénétrant. Sa résistance à la douleur a ses limites. En sentant sur ses doigts couler le liquide du plaisir qui émane de son sexe, elle se sent rassuré. Il n’aura aucune peine à la défoncer. Sa chatte réclame sa part.

Le précieux olisbos en main, Heinrich s’approche de sa victime. Il lui passe l’objet devant le visage, lui caresse les joues avec. Elle entrouvre la bouche, sa langue pointe. Quand il lui pose le godemichet sur sa lèvre inférieure, elle sait qu’il veut la voir sucer le manche d’ébène. Elle écarte ses mâchoires et fait entrer le bout dans sa bouche. Elle fait exprès de ne mettre aucune bonne volonté, bien au contraire elle rechigne. Ses dents empêchent le gode de poursuivre sa course jusqu’au fond de sa gorge. Le comte énervé pas son manque d’implication, lui assène un furieux coup de badine sur les fesses. Il profite du cri qu’elle pousse pour lui rentrer le gode complètement dans la bouche.

— Maintenant tu vas arrêter de n’en faire qu’à ta tête, j’exige que tu le suces.

Elle ne peut rien répondre, étant encombrée par le volumineux objet. Sa tête commence à aller et venir sur le bois qu’elle imbibe de sa salive. De temps en temps elle lève timidement les yeux vers lui, afin d’obtenir un signe d’assentiment. Il la regarde téter. Bien qu’il sache parfaitement se maîtriser eu égard à sa grande pratique de l’art amoureux, il ne peut empêcher sa verge de se gonfler dans son pantalon. Il la laisse se tendre maintenue fermement à l’intérieur de ses habits.

Il retire brusquement le gode de la bouche de sa victime. Celle-ci le cherche vainement en simulant un aboiement silencieux. Il se relève et se rend au dos de Magda. Elle essaye de se retourner pour voir ce qu’il va lui infliger mais la laisse la retient toujours attachée à l’anneau. Elle se cambre. Elle écarte un peu plus ses genoux afin de s’ouvrir à la sentence qu’elle ne sent pas loin de tomber. Elle lui offre sa chatte en pâture. Il la regarde gigoter. Il aime regarder son cul si jeune et pourtant déjà si fréquenté. Magda n’a pas encore atteint ses vingt-cinq ans, alors qu’il compte plus du double de son âge.

Il pose un genou à terre. Il braque le godemichet sur la pointe de son sexe, celle qui renferme son clitoris. Il appuie légèrement afin que le bois finisse par effleurer le bouton. Elle tressaille lorsque la rencontre se fait. Le but atteint, il longe l’ouverture que lui offrent ses lèvres s’ouvrant. Elle sent qu’elle va enfin se faire pénétrer. Puis il remonte l’objet sans jamais rompre le contact sur son périnée pour s’arrêter sur son sphincter. Le muscle s’est refermé depuis la dernière sodomie, formant une jolie rosette brune. C’est à cet endroit que le comte aime s’attarder. Elle comprend enfin que ce n’est pas sa chatte qui l’intéresse mais le trou de son cul, et en est d’autant plus excitée.

Comme il l’a fait précédemment avec sa badine, il appuie légèrement sur la rondelle et observe avec quelle facilité celle-ci se dilate. Cela lui permet de juger le degré de vice de ses partenaires. Le gland rentre d’un coup sec dans le cul de Magda. Mais le diamètre du gode n’a plus rien à voir avec celui de la badine précédemment introduite. Heinrich sent une forte résistance. Elle se met à crier quand il insiste. La main toujours appuyée sur l’objet de collection, il lui dit :

— Alors ! tu fais moins l’arrogante maintenant.

— Oui, monsieur le comte, mais là c’est trop gros, ça ne rentrera jamais pas par ce trou. Ça me fait mal.

— Ah bon, petite salope, ça te fait mal ?

— Oui, oui, il faut arrêter, j’ai trop mal. Je ne joue plus.

— Tu pensais peut-être que je jouais ? À quoi ? À te faire du bien ?

— Non, non, monsieur le comte, je suis vilaine, je sais qu’il faut me punir, mais je n’ai jamais pris une aussi grosse chose dans mon cul.

Elle est tétanisée par la douleur. Le comte qui ne se démonte jamais continue d’appuyer de plus en plus fortement mais la pénétration semble ne pas vouloir s’opérer. Il lui vient une idée. Il lâche le gode qui reste suspendu par le gland au cul de la drôlesse tant elle est stressée. Il se redresse et va prendre sur l’étagère aux milles plaisirs une bouteille de lubrifiant prévu à cet effet. Il prend aussi une paire de gant en latex qu’il enfile.

De retour derrière la gouvernante qui reprend son souffle, il pose une main gantée sur sa croupe et la masse largement. Il s’égare un peu sur sa vulve. Le contact du caoutchouc la fait frémir. Il a retiré le godemichet de son cul et l’enduit largement du lubrifiant en mimant une masturbation de l’objet oblongue. Il brille de mille feux. Il le pose à ses côtés, sur le plancher. Il prend le flacon d’huile et verse délicatement un peu du liquide sur le creux des reins de Magda. La fraîcheur la fait frissonner. Elle sent le liquide couler entre ses fesses. Avant que la première goutte ne tombe sur le sol, le comte place son doigt juste sous l’anus et ramène l’huile dans le trou qu’il obture.

Il pénètre Magda en la doigtant délicatement. Elle gémit de plaisir. Elle se met à dilater et un gouffre sombre apparaît sous les yeux satisfaits d’Heinrich. Il prend le temps de bien huiler l’intérieur. Il a pu rentrer 3 doigts. Satisfait du résultat, il empoigne le godemichet et le présente à nouveau devant l’anus bien détendu de Magda. Celle-ci tressaille car elle a encore à l’esprit les douleurs qu’elle a encourues auparavant. Mais cette fois il n’a aucune difficulté à le faire rentrer de toute sa longueur. Elle pousse un cri orgasmique.

— Ah oui, oui, plus fort

— Tu aimes ça, hein ? Petite garce.

— Oh oui, monsieur le comte, vas-y, défonces-moi. Je veux que tu m’encules fort !

Personne n’y aura prêté attention, mais l’intimité du rapport conjuguée à la v i o l ence du plaisir qu’éprouve Magda, celle-ci en a oublié jusqu’aux plus simples des convenances et se met à tutoyer le comte.

Le godemichet tenu d’une main ferme s’engouffre dans le conduit anal de la petite salope de gouvernante et le lime frénétiquement. Le comte fait varier son mouvement. Il accélère son geste et dès qu’il sent que Magda commence à décoller, il stoppe son mouvement d’un coup. Celle-ci dans l’attente qu’il poursuive ses invectives lui tend d’autant plus son cul, se soumettant totalement à son bon vouloir. Alors il recommence. Puis il la pénètre à vitesse constante mais cette fois il opère en même temps un mouvement rotatif du poignet afin que le godemichet masse bien les bords de son trou. La séance dure longuement car elle a une forte endurance à ce petit jeu-là, et ce malgré son jeune âge. Elle a eu à maintes occasions lorsqu’elle était en place chez la baronne Auristelle de la Mitre des Champs de Bois-Colombes de s’essayer à ce genre d’exercices, lors de leurs ébats lesbiens.

Sa main avec laquelle elle se caresse le bouton est quasiment tétanisée tant elle a le geste hystérique. Le plaisir finit par l’envahir et la submerger. Elle est trempée de toute part. Elle pousse un dernier cri qui envahit toute la pièce et résonne longuement. Le comte voyant cela, retire d’un geste brusque le godemichet de son cul. Il l’essuie à l’aide d’un chiffon prévu à cet effet et le replace délicatement à la place qui lui échoit. Elle s’effondre sur le flanc, épuisée par la vibrante secousse orgasmique qui l’a foudroyée.

Le comte s’assied sur un fauteuil tapissé à haut dossier, reposant ses bras sur chacun des accoudoirs. Il regarde le corps à moitié nu de sa victime. Il aime la jeunesse qui coule dans les veines de cette garce. Son sexe est resté dur. Pris par un élan de désir, il se lève et détache Magda de l’anneau qui la retenait prisonnière de son vice. Il la traîne par la laisse et se rassied en s’affalant sur son fauteuil. Elle gît à ses pieds. Âme vouée à hanter les tréfonds des enfers, elle a le regard baissé vers les pieds de son mètre, attendant les exigences de celui-ci. Il lui relève la tête en lui tirant les cheveux.

— Maintenant petite salope, que tu es revenue à de plus justes sentiments, tu vas te tenir tranquille et faire en sorte que ton service soit désormais irréprochable. Il pourrait t’en coûter plus cher la prochaine fois. Tu ne connais pas l’étendue des sévices que je saurai t’infliger si tu désobéis, ni la richesse de mon imagination.

— Oui, monsieur le comte, je ne recommencerai plus jamais.

— C’est bien, petite gourde. Tu vas sucer ton mètre pour lui montrer que tu l’honore de ta reconnaissance. Enlèves moi mes bottes et mon pantalon.

Magda se lève et se place lui faisant dos, à califourchon sur une des jambes du comte, qu’elle relève. Elle tire de toutes ses f o r c e s jusqu’à ce que la chausse s’extirpe d’un coup. Le comte à l’œil avisé n’a pas manqué l’occasion pour reluquer le cul qu’il vient de défoncer. Lorsqu’elle a fini de le déshabiller, elle pousse un cri de stupéfaction lorsqu’elle voit le noble braquemart tendu vers d’augustes cieux, la narguer. La joie irradie par ses yeux. Le comte a pour habitude de porter sous ses vêtements un harnais de cuir qu’il veille à maintenir bien serré parfois jusqu’au s a n g . Il aime l’effet que provoquent les s a n g les sur sa chair. L’une d’entre elles descend sur son pubis jusqu’à un anneau de métal qui lui enserre le sexe afin d’augmenter son érection. Elle se poursuit jusque dans le dos, lui fendant les fesses en 2 comme le fait le string de Magda. Au niveau de l’anus, un plug est fixé, qui lui rentre dans le cul et lui stimule la prostate selon les mouvements qu’il a. Son appareillage lui permet de changer la taille du gode anal à volonté et selon ses envies.

Il amène sa tête sur son sexe qu’il enfourne dans sa bouche. Elle l’avale goulûment, prenant soin de bien écarter ses mâchoires afin de ne pas blesser le membre avec ses dents. Elle a la pratique suffisamment exercée pour ne pas tomber dans de telles erreurs. Elle passe sa langue sur le gland du comte allégrement comme si elle suçait un cornet de glace. Sa tête va et vient comme son cul l’a fait auparavant sur le godemichet. Elle y met toute la bonne volonté qu’elle a pour ce genre de service pour lequel elle a été embauchée. Cela faisait partie des conditions explicitement expliquées lorsque la baronne l’avait détachée auprès de son cousin.

Des bruits de succion rompent le silence monacal du château. Le comte se laisse faire. Il ne peut s’empêcher de regarder son cul. Le plaisir lui montant petit à petit, son corps commence à se contracter. Il ressert ses fesses sur le plug de son harnais et sent la pénétration anale synthétique lui stimuler son érection. Il a l’impression que sous l’afflux de s a n g dans son sexe, ce dernier va exploser. Il se congestionne. Sa respiration se fait de plus en plus haletante. Les seins de Magda frottent contre ses cuisses. Elle est arc-boutée sur son membre.

Elle aspire le liquide séminal qui prélude à l’éjaculation, qui elle tarde à venir. Elle en a les mâchoires crispées, une crampe irradie sa douleur dans son visage. Elle ne lâchera pas le morceau tant qu’il ne sera pas arrivé au terme de son orgasme.

Il la repousse vivement et gicle en trois salves sur son visage enjoué. Elle a du sperme qui lui coule le long des joues et sur le front. Elle sort sa langue pour lécher tout ce qu’elle peut. Elle a toujours aimé la chaleur et le goût du sperme de ses partenaires. Selon elle, elle s’accapare un peu de leur héritage génétique. Elle finit par s’essuyer avec ses mains.

Plantée audacieusement devant Heinrich, elle lui exhibe sa main mouillée de sa semence et commence à sucer chaque doigt avec toute l’obscénité qu’elle peut mettre dans ce geste.

Lorsqu’elle a fini de se nettoyer, Magda se retourne, ramasse son string et son tablier, et sort de la pièce. Le comte reste assis, perdu dans ses pensées charnelles.

gunther von frafft

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